Classe la batisse

magnifique vue d'ensemble, le vrai château fort du moyen âge !

Non, c'est juste le gite type du coin...Pas ça dans les P.O. ?

Et dire que ce château n' a jamais essuyé la moindre escarmouche....

Tant mieux, au moins il est toujours debout !!

En même temps, je me vois mal lancer l'assaut, à choisir je passe à coté, tant pis pour la princesse elle attendra !

il doit rester un vieux fusil dans un coin.

Ah, non... le vieux fusil, c'était Bruniquel!   

Ah oui c'est aussi Bonaguil j'ai mes sources...

Le vieux fusil : photos du tournage à Bonaguil en 1975

 A l'occasion de la rediffusion du film « Le vieux fusil », un trésor vient d'être exhumé de la photothèque de Max Pons : à la demande du directeur du château de Bonaguil, il a mis à la disposition de la presse quelques photos du tournage qui remontent à 1975.

     C'est étonnant car bien des gens, y compris votre serviteur rédacteur du présent article, croyaient ferment que le film « Le vieux Fusil », de Robert Enrico, avec Philippe Noiret et Romy Schneider, avait été exclusivement tourné au château de Bruniquel en Tarn-et-Garonne, à l'entrée des gorges de l'Aveyron, ainsi qu'à Montauban. Max Pons, est un poète, un écrivain, éditeur de la revue Barbacane. Il nous prouve que nous avions tort, ce qui nous ravit et nous lui en sommes reconnaissants : en 1975, il a tiré quelques clichés sur le chantier de tournage qui avait lieu au célèbre château de Bonaguil tout près de Fumel, en Lot-et-Garonne.
   C'est à l'occasion de la rediffusion récente du film, sur une grande chaîne nationale, que Patrick Arassus, l'actuel directeur du château, a demandé à Max Pons de mettre à la disposition de la presse, ces quelques clichés monochromes du tournage. Celles qui sont parvenues jusqu'à nous montrent une scène située vers la fin du film, quand les SS qui ont martyrisé la population, commencent à avoir de sérieux problèmes, car Philippe Noiret, le docteur qui possède ce vieux fusil, rôde et frappe dans l'ombre de ses douves et les ténèbres de ses souterrains, il les harcèle, rendu fou par l'instinct de vengeance et l'immense souffrance causée par la mort de ceux qu'il chérissait si tendrement…
   Grand merci à Max Pons et à Patrick Arassus de la part de tous ceux qui ont pleuré ces temps effroyables.

Jean-Loup DUYNSLAEGER

Alors là, tu m'en bouches un coin! Je ne peux que m'incliner! Merci de l'info, je n'avais jamais entendu parler de ça; pardon d'avoir douté.............

Pas de souci, chacun doit partager ses connaissances et ou son expérience.